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QFP Employeurs
Depuis le 6 avril, tout le monde peut se procurer un autotest coronavirus en pharmacie. En tant qu’employeur, pouvez-vous utiliser ces autotests sur le lieu de travail ? Quelles sont les possibilités de ces tests ? Nous vous l’expliquons dans cet article de blog.
Seul le médecin du travail peut, aux mêmes conditions que pour les tests rapides, décider d’instaurer les autotests ou les autoprélèvements pour certaines catégories de collaborateurs. Certaines directives doivent tout de même être appliquées :
En dehors de ce cadre, il n'est pas possible d'utiliser dans votre entreprise les autotests mis à la disposition du grand public. La décision du recours aux autotests ne peut donc être prise que par le médecin du travail. En tant qu’employeur, vous ne pouvez pas demander à vos collaborateurs d’effectuer un autotest.
Le résultat de l’autotest de votre travailleur est positif ? Il doit alors s’isoler immédiatement. Il doit également avertir le médecin du travail qui décidera si un test PCR de confirmation doit être effectué et veillera au traçage des contacts au sein de l’entreprise.
Les collaborateurs dont le résultat au test est négatif peuvent continuer à travailler. Un résultat négatif ne signifie pas que votre collaborateur n’est pas contaminé, car les autotests sont de manière générale moins sensibles que les tests PCR standard. Afin de garantir la sécurité de vos travailleurs, il est donc toujours nécessaire de suivre les mesures de prévention (telles que mentionnées dans le guide générique), aussi bien pour les collaborateurs testés que les collaborateurs non testés.
Une première forme de test possible est celle qui est proposée actuellement en pharmacie (les tests rapides antigéniques). Votre travailleur peut effectuer ce test chez lui et lire lui-même le résultat.
Il existe aussi les tests (p. ex. les tests salivaires) que votre collaborateur peur effectuer lui-même, mais dont les résultats doivent être analysés par des acteurs qualifiés (dans un laboratoire par exemple).
Un collaborateur peut aussi effectuer un autoprélèvement (p. ex. par un écouvillon nasal peu profond), mais cela doit toujours se faire sous la surveillance du médecin du travail ou de l’un de ses collaborateurs. L’analyse du test est alors effectuée par le médecin du travail ou par un de ses collaborateurs.
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