Vous vous lancez comme indépendant mais vous restez pour l’instant attaché à votre emploi de salarié ? Cette combinaison est parfaitement possible si vous devenez indépendant à titre complémentaire. « Complémentaire » doit être ici interprété de manière littérale : votre activité principale reste votre emploi de salarié. Nous avons rassemblé pour vous les informations essentielles. À vous de faire les meilleurs choix !
Pour rappel : en tant qu’indépendant en activité complémentaire, vous devez remplir les mêmes formalités qu’un indépendant en activité principale. Vous payez donc aussi des cotisations sociales (moins élevées).
Si en cas de licenciement, vous étiez actif depuis moins de trois mois comme indépendant en activité complémentaire, vous risquez de perdre votre allocation. Par conséquent, tenez compte dès le début d’un tel scénario.
Votre activité d’indépendant en complémentaire ressemble étrangement beaucoup à votre fonction de salarié ? Une situation délicate. Pour certaines fonctions et dans certains secteurs, votre patron peut imposer une « clause de non-concurrence ». Cette clause reprise dans votre contrat vous empêche de vous lancer comme indépendant, pendant et/ou après votre emploi actuel, afin d’exercer des activités similaires. Si vous avez signé une telle clause, vous devrez généralement attendre un an avant que votre propre entreprise puisse concurrencer votre patron.
Activité complémentaire, activité principale, vie familiale… une organisation stricte est bien entendu indispensable. Ne sous-estimez pas cet aspect et conservez une certaine flexibilité !
Tous les starters se posent des questions. C’est normal. Et vous souhaitez obtenir une réponse claire. C’est normal aussi.
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