Pour le million et demi d’indépendants que compte notre pays, il n’existait pas encore de guide prêt à l’emploi pour évaluer et améliorer leur état de santé mentale.

Malgré les frais salariaux élevés et la situation économique incertaine, les entreprises belges se disent positives en matière de personnel pour le reste l’année.

Les personnes qui ont la possibilité de télétravailler le font en moyenne un ou deux jours par semaine.

La proportion des moins de 35 ans qui commencent à travailler dans le secteur des soins de santé a nettement diminué l’année dernière.

D’ici le 1er avril, les entreprises belges comptant au moins 20 collaborateurs devront avoir conclu des accords en matière de déconnexion dans une CCT ou dans le règlement de travail, mais 15 % des entreprises ne l’ont pas encore fait.

Un peu plus de 6 % des travailleurs de notre pays ont recours à l’une ou l’autre forme d’interruption de carrière.

Trouver des collaborateurs adéquats et les garder, tel est le plus grand défi pour les entreprises belges en 2023.

Près de trois mois après l’introduction de ce système, 0,5 % des travailleurs bénéficient de la semaine de travail de quatre jours.

En 2022, 1,1 % des heures ouvrables dans les entreprises belges n’ont pas été prestées parce que les travailleurs étaient au chômage temporaire.