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Votre travailleur est en incapacité de travail pour cause de maladie ou d’accident pendant ses vacances ? À partir de 2024, ces jours de maladie ne sont pas perdus et peuvent être reconvertis en jours de vacances.

L'absentéisme est une préoccupation au sein des entreprises. Des facteurs sous-jacents sont souvent à l'origine de ce phénomène. Le stress, l'épuisement professionnel ou la surconnexion sont des problèmes qui se posent dans de nombreuses organisations. Le bien-être mental doit donc être pris en compte et faire partie de toute politique de ressources humaines.

Y a-t-il certaines choses que vous devez prendre en compte en tant qu'employeur l'année prochaine ? Nous dressons la liste des plus importants d'entre eux.

Transposer la semaine de travail à temps plein en 4 jours tout en conservant le salaire : c’est possible depuis la fin de l’année 2022. Cette nouvelle application de la flexibilité en matière de durée du travail est un beau moyen de se démarquer en tant qu’employeur attractif en ces temps de marché de l’emploi restreint.

La déconnexion consiste à pouvoir se détacher du travail. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une science exacte, certains paramètres constituent un baromètre fiable du bien-être mental.

Le large éventail d’offres d’emploi disponibles fait en sorte que les travailleurs ne s’accrochent plus frénétiquement au poste qu’ils occupent. Il est préférable de surfer sur cette tendance et de miser sur le potentiel. Autrement dit, il ne faut pas chercher à maintenir le statu quo en matière de RH, mais plutôt opter pour un degré raisonnable de mobilité professionnelle.

Les employeurs voient le bien-être mental de leurs collaborateurs sous un meilleur jour : 8 sur 10 pensent que leurs travailleurs se sentent bien, voire très bien, dans leur peau. Ces derniers ne le vivent (vraiment) pas toujours de cette manière, selon une enquête menée par Acerta et Stepstone auprès de plus de 2500 travailleurs belges.

À partir du 1er avril, les entreprises occupant 20 travailleurs ou plus sont tenues de mettre en place des accords sur le droit à la déconnexion. Mais sont-elles prêtes à le faire ? Une étude récente menée par Acerta auprès de plus de 500 entreprises montre que 15 % d’entre elles n’ont pas encore établi de directives concrètes.

Le poison du dirigeant ne réside pas dans sa façon de diriger, mais dans les zones d’ombre qu’il a par rapport au reste de l’organisation, en particulier les collaborateurs.